En 2015, les accords de Paris étaient signés avec l’ambition de limiter le réchauffement à 2°C par rapport aux niveaux préindustriels. Moins de dix ans plus tard, les dernières estimations tendent à faire passer les +2°C pour un moindre mal, par rapport à une hausse moyenne de 4°C qui n’a rien d’improbable. L’hiver que nous vivons nous donne un aperçu des anomalies thermiques vers lesquelles nous nous dirigeons inéluctablement, avec des records de chaleur (pour un mois de janvier) qui tombent
Ministère du futur
Ministère du futur
Ministère du futur
En 2015, les accords de Paris étaient signés avec l’ambition de limiter le réchauffement à 2°C par rapport aux niveaux préindustriels. Moins de dix ans plus tard, les dernières estimations tendent à faire passer les +2°C pour un moindre mal, par rapport à une hausse moyenne de 4°C qui n’a rien d’improbable. L’hiver que nous vivons nous donne un aperçu des anomalies thermiques vers lesquelles nous nous dirigeons inéluctablement, avec des records de chaleur (pour un mois de janvier) qui tombent